L'absence infinie
La douleur me tire l’âme, chaque soir,
Elle me ronge, me brise, sans espoir.
Je pleure, je pleure sans fin,
Attendant que la plaie se ferme enfin.
Mais même quand la blessure semble se cacher,
Elle revient, plus forte, plus acérée.
Une douleur secrète, sans nom, sans fin,
Elle me frappe encore, chaque matin.
Je pense à toi, à cet ami perdu,
Dans une vie passée, si lointaine, si inconnue.
Ton vide me hante, ton absence me consume,
Comme un hiver sans fin, qui n’ose s'allumer.
Je pleure ton absence, ce manque cruel,
Un vide glacé, une douleur sans égale.
Mais au fond de cette nuit glacée, je sais,
Que quelque part, tu vis encore en moi, caché.
Commentaires
Bonjour chère plume, "L'absence infinie" est d'une beauté poignante, il exprime avec une telle profondeur la douleur de la perte et le vide laissé par un être cher, chaque vers résonne avec une intensité émotionnelle qui touche profondément le cœur, merci de partager cette œuvre si personnelle et émouvante, tes mots sont un véritable hommage à la mémoire de ton ami, et ils rappellent à quel point les souvenirs peuvent être puissants et réconfortants, même dans les moments de douleur, avec toute mon admiration et mon soutien, Régis.