posté le 04-12-2024 à 19:49:55

Le masque du clown

 

 

 

 

Le masque du clown

 

Je suis devenu un clown triste, sans éclat,
Un masque de joie, un sourire qui ne va pas.
Je montre aux autres ce que je n’ai pas,
Un vide, un silence que personne ne voit.

 

Les gens partent trop vite, trop tôt,
Et je reste là, dans ce monde trop clos.
Je n’arrive pas à m’adapter, peu importe ce que je fais,
Même mes rires sonnent faux, comme une blague qui me fait pleurer.

 

Toi, tu me manques, chaque jour, chaque nuit,
Depuis si longtemps, ton absence me poursuit.
Le voile de l’oubli, lié à la réincarnation,
N’a pas effacé ton souvenir, ta présence.

 

Il est resté accroché à mon âme, pesant,
Comme un fragment du passé, une mémoire vibrante.
De qui j’étais, de ce que j’ai été,
Et dans ce silence, je n’arrive à m’en défaire, à m’en libérer.

 

Mon cœur hurle de te retrouver,
Mais tout ce qui reste, c’est ce vide à combler.
Et je porte ce masque, jour après jour,
Dans un monde où l’ombre de l’espoir me fuit.


 


 
 
posté le 04-12-2024 à 19:42:04

Le vide sans toi

 

 

 

 

 

 

 

Le vide sans toi

 

De toi, je me retiens de parler,
De peur de saouler, d'ennuyer.
Mais ton absence me brise à chaque instant,
Un vide infernal, un gouffre lancinant.

 

J’ai l’impression qu’on m’arrache l’âme,
Que ce monde m’étouffe, m’enflamme.
Loin de toi, tout est terne, sans éclat,
Et chaque souffle me semble trop froid.

 

Ma vie est devenue un reflet de tristesse,
Un tableau de gris, sans aucune promesse.
Je suis un clown triste, perdu dans le noir,
Et l’hiver m’enserre, me dévore quelque part.

 

Ce froid est pire que ceux que l’on connaît,
C’est celui de l’absence, celui de l’absence de toi.
Je me perds dans ce monde où tout semble figé,
Sans toi, tout est plus lourd, tout est brisé.

 

Tu me manques dans chaque silence,
Dans chaque souffrance, chaque errance.
Et je me noie dans cette mer d’isolement,
À la recherche d’un souffle, d’un instant.


 


 
 
posté le 01-12-2024 à 19:13:03

L'absence plus froide que l'hiver

L'absence plus froide que l'hiver

 

 

 

Tout me saoule, tout m’écrase, tout m’enchaîne,
Mais ton souvenir brûle, intact dans mes veines.
Malgré les années, il ne s’efface jamais,
Un feu secret que le temps n’a jamais brisé.

 

J’ai crié dans le silence, hurlé qui j’étais,
Dans cette vie antérieure où je t’ai aimé.
Mais personne n’entend, personne ne comprend,
Et ton absence me glace à chaque instant.

 

C’est pire que le froid, pire que l’hiver,
Ton absence est une nuit sans lumière.
Elle s’insinue, cruelle, sous ma peau,
Me laissant seule, face à ce fardeau.

 

Un manque cruel, un amour inavoué,
Un secret trop lourd pour être partagé.
Même quand tu étais là, je me taisais,
Les mots restaient prisonniers, figés.

 

Aujourd’hui, le vide hurle dans mon cœur,
Chaque battement s’alourdit de douleur.
L’hiver est glacial, mais avec ton absence,
Le monde entier devient une pénitence.

 

Si seulement je pouvais crier ce fardeau,
Laisser éclater ce secret sous les flots,
Mais même l’écho s’étouffe dans le vent,
Et ton absence me hante, infiniment.


 


 
 
 

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