L’Essence de ma Douleur
Ma douleur, c’est mon âme, un cri silencieux,Un feu qui brûle, mais éclaire mes cieux.Je ne peux plus t’oublier, toi, mon ami,Vestige d’une autre vie, gravé en mon esprit.
Le Voile
Quand on naît dans une famille fermée d'esprit,Qui réduit nos paroles à néant, nos rêves à l’oubli,Le voile se tisse, doux et sournois,Recouvrant nos souvenirs, effaçant nos émois.
Les Secrets de l'Âme
Parler, m’a-t-on dit, c’est ouvrir une brèche,Laisser le vent du doute souffler ses flèches.Ces vies d’avant que mon cœur murmure,Sont des vérités que le monde censure.
Le poids de la vérité
Comment ne pas finir par haïr ces voix,Qui te poussent à mentir, à courber ton dos,Te forçant à oublier ce que tu sais, toi,Et à dire des choses qu’au fond, tu renies, comme des échos.
Mon cul, c’est du poulet
On te parle de liberté, mais c’est du vent,On te dit que tu peux parler, mais c’est que du blabla,On te vend des rêves, mais c’est toujours le même chant,La vérité ? Ça dépend de là où tu te poses, ça.
J'en ai rien à faire de vos conventions sociales
Ils veulent que je m'adapte, qu'enfin je me conforme,Que je rentre dans ce moule, que je me fasse la norme.Mais pourquoi diable, pourquoi, devrais-je m'éteindre,Juste pour votre confort, pour ne plus vous peindre ?
Liberté d’expression
On m’a dit qu’il fallait me taire,Qu’il n’était pas bien de tout dire,Que mes mots, mes pensées, mes mystères,Ne devraient pas franchir le pire.
Authentique, c'est tout
Je ne sais plus comment réagir,Dois-je parler ou me taire, me cacher dans ce pire ?On me demande pourquoi je tire cette tête,Pourquoi je suis en silence, pourquoi je ne m’entête.
La Danse des Vieux Cons
Les vieux cons dansent en rond,Leurs pas figés, leurs cœurs de plomb.Ils jugent, ils comparent, ils imposent,Les rires éclatent, mais leur écho explose.
Le progrès, un chemin sans fin
Le progrès, à chaque fois, il faut en faire,Mais où allons-nous ? On fonce dans l'inconnu,Les projets s'empilent, mais au fond de moi,Je suis morte depuis que je me rappelle de toi.
Pourquoi ?
Pourquoi en société on te dit : "Sois libre, sois toi-même",Puis à la maison, tu te heurtes à des murs de problème ?Des vieux cons figés, coincés dans leur temps,Prisonniers d'idées mortes, d'un passé étouffant.
Je sais ce que j'ai vécu
Je sais ce que j'ai vécu, ce que j'ai connu,Les petites souris qui vivaient chez nous.Blanches et vives, dans leur univers,Elles étaient réelles, un fait clair et sincère.
L'odeur de l’hypocrisie
Dans la famille, y’a des règles,Et parfois, elles sont bien bizarres,On m’a dit « ne rigole pas trop »,Mais pour eux, c’était l’exception qui dépare.
Humour Égaré
Dans le cercle des proches, l’humour se perd, Les mots s’échappent, les rires désertent. Je lance des traits, pensant qu'ils s'accrochent, Mais souvent, ils tombent dans le vide amer.
Le Père Noël est une ordure
Il était une fois une nuit de décembre,Où les rêves d’enfants dansaient sous les cendres.Le sapin scintillait, les étoiles chantaient,Mais toi, géniteur, tu es venu tout briser.
Le Jour sans Fin
Chaque matin, j’ouvre les yeux, un frisson,Comme un écho glacé, un poison.Je suis coincé dans ce film cruel,Un jour sans fin, un enfer éternel.
La Prophétie de Nancy et Paco Rabanne
Sur un trottoir enneigé d'une ville grise et gelée, Nancy, drapée dans un manteau trop large, brandit sa canne en croix, le regard embrasé par une conviction aussi sérieuse que comique. À ses côtés, Paco Rabanne, fidèle acolyte, trépigne d’impatience, prêt à soutenir la prophétie.
La fin du monde est proche ! Très proche !
Alors que l’atmosphère était déjà un peu lourde à table, avec ma tante qui insistait pour que je mange plus et mon tonton qui lançait des blagues maladroites, tout bascula.
Hurler dans le silence
Le matin, cette question, toujours la même,"Ça va ?", mais pourquoi tu m’traînes ce problème ?Je réponds, "Oui, ça va", comme un masque que je porte,Mais à l’intérieur, tout est une porte qui claque, qui s’emporte.
Noël, ce n’est pas pour moi
Noël, je le déteste, qu’on se le dise,Une fête de famille ? Pour moi, une méprise.Les guirlandes scintillent, mais pas mon cœur,Cette joie forcée, c’est un leurre.
Le cœur et les mots
On blogue avec le cœur, avec passion,Chaque mot un élan, chaque ligne une mission.Un partage sincère, une flamme à offrir,Pour se faire plaisir, et aux autres, un sourire.
Ma vie, un film d'horreur et de mauvais goût
Au début, ma vie, c'était une tragédie,Un épisode glauque des Contes de la crypte à l'infini.Le décor : lugubre, les rires : absents,Un frisson constant, des ténèbres au-devant.
"Ma Vie Actuelle : Entre Rires et Frissons"
Bienvenue dans ma vie actuelle, le film d’horreur,Avec des scènes si drôles qu’on en pleure encore.Au réveil, la lumière me gifle sans pitié,Et mon café froid me dit : "Tu vas déguster."
"L'ombre des non-dits"
La dépression est un fardeau lourd à porter,Un poids invisible que l’on ne peut soulever.Chaque jour se traîne, chaque nuit s’étend,Les souvenirs me hantent, sans répit, incessants.
Le corbeau
Le corbeau, ami de Karine, tout fièrement il vole,Avec un briquet dans le bec, sur le toit il décolle.Sous la lune, il plane, tel un ninja secret,Faisant ses petites affaires, là où personne ne l’arrête.
Dans le creux du manque
Ton visage me hante, dans l'ombre il m'appelle,Même quand j’essaie de fuir ce tourment cruel.L’hiver s’étire, complice de ma douleur,Et je tais mes larmes, par crainte des moqueurs.
Je ne sais pas si un jour je te reverrai
Je n'arrive pas à faire mon deuil,Je continue d'espérer,Et c'est ce qui fait que mes larmes coulent.
Emmanuel sur la plage
Seul sur la plage, sous un ciel gris souris,Emmanuel rêvait d’amour et de raviolis.Il attendait Maria, diva des Bodin's,Pour sceller un pacte d’amour clandestin.
Scène : Le salon de Marquise Morticia.
(Marquise Morticia, vêtue d’une robe gothique élégante, se regarde dans un miroir en pied.)
Ton visage me suit partout
Et même quand j'y pense pas,Surtout en cette saison qu'est l'hiver.Je ne peux pas expliquer aux gensNi dire qui j'étais dans ma vie antérieure.
Scène : Un bistrot tranquille, ambiance tamisée, musique douce en fond.
À la Cour des Miroirs
Dans un bal scintillant de lumières dorées,Parmi les flots d'intrigues aux parfums surannés,Une dame s'avance, coiffée de vanité,Son éventail brille d’une fausse majesté.
Pour mes ami(e)s de passage
Pour certaines ami(e)s, je n'étais que de passage,Un vent qui souffle, une étape, une image.Au bout d'un moment, je ne sais plus quoi raconter,Surtout sur internet, où les liens sont effleurés.
La Ruse de moi et de Sandra
Quand on était jeunes, Sandra et moi,On racontait à Brigitte, tout en joie,Qu'on connaissait un personnage un peu spécial,Globullo, le héros, un type pas banal.
Ma petite Brigitte,Tu te crois la plus belle, avec ta jupe à carreauxQui te va comme un sac poubelle,Tu te prends pour la reine,Tu crois que tu attires les hommes,Désolée pour toi, je suis sortie avec quelqu’un de connuDont tu rêvais, le karma ça s'appelle.
Salut les clowns tristes
Les clowns du support Eklablog, oh quel spectacle,Ils ont pris nos blogs, les ont rendus ridicules, c’est un fait tragique.Avant, nos pages brillaient de mille couleurs,Mais maintenant, c’est du vomi, du désespoir dans chaque erreur.
Les clowns du restaurant
Dans l’ombre des assiettes, ils rôdent en silence,Des vieux bien trop curieux, dans toute leur prestance.Avec leurs sourires faux et leur air décalé,Ils s'imaginent stars, mais restent ratés.
Le Saint Esprit, voleur de bonbons
Ma petite Brigitte, le soir venue,Pour la télé, sans retenue,Venait m’embêter à n’en plus finir,Moi, dans mon coin, je voulais juste dormir.
Les roses noires
Dans la nuit où le silence se pose,Fleurissent les roses, d’un noir sans cause.Éclat sombre, mystérieux et pur,Telles des étoiles dans un ciel obscur.
La saga des blogs et des drames
Sur la toile un jour, une histoire éclatée,De blogs, de querelles et de petites fiertés."Plagiat", criait l'une, toute indignée,Mais franchement, ces textes étaient bien trop fâchés.
Rêve d'Uschy
Dans le silence de la nuit, elle dort paisiblement,Uschy, ma petite chienne, rêve doucement.Ses pattes frémissent, un sourire sur ses lèvres,Elle court dans des champs d'étoiles, légère comme un rêve.
L'absence infinie
La douleur me tire l’âme, chaque soir,Elle me ronge, me brise, sans espoir.Je pleure, je pleure sans fin,Attendant que la plaie se ferme enfin.
Vies volées
C’est fatiguant de voir ces ombres sans couleur,Des copies sans âme, des vies sans saveur.Ils prennent nos histoires, nos rêves, nos pas,Ils les volent, les dérobent, puis les transforment en tracas.
La vérité, un mensonge
De nos jours, la vérité n’est qu’un mirage,Un mensonge déguisé, une image.Elle se cache derrière des mots perfides,Où tout est flou, où tout devient vide.
L'ombre de l'amitié
Notre relation est une mer agitée,Un entrelacs de rires et de silences partagés.Les mots se croisent et se perdent parfois,Comme des vagues qui brisent nos voix.
Comme un chat
Je suis comme un chat, tranquille dans mon coin,Mon espace est sacré, je le garde pour moi.Je vais vers les autres quand je le décide,Et dans mon silence, je trouve mon guide.
Le poids de l'absence
La douleur qui part, puis revient,Comme un souffle froid qui me serre la main.Elle me hante, elle m’étreint,Un souvenir qui refuse de s’éteindre, serein.
Le poids du vide
Je porte un masque que personne ne déchire,Un sourire peint pour cacher mon vrai soupir.Chaque éclat de rire sonne creux en écho,Un théâtre absurde, un monde bien trop faux.
Le masque du clown
Je suis devenu un clown triste, sans éclat,Un masque de joie, un sourire qui ne va pas.Je montre aux autres ce que je n’ai pas,Un vide, un silence que personne ne voit.
Le vide sans toi
De toi, je me retiens de parler,De peur de saouler, d'ennuyer.Mais ton absence me brise à chaque instant,Un vide infernal, un gouffre lancinant.
L'absence plus froide que l'hiver
Tout me saoule, tout m’écrase, tout m’enchaîne,Mais ton souvenir brûle, intact dans mes veines.Malgré les années, il ne s’efface jamais,Un feu secret que le temps n’a jamais brisé.
Le cycle étouffant
À quoi sert cette vie, ce cercle infernal,Métro, boulot, dodo, un rythme si banal.Deux jours à peine pour souffler un peu,Puis le poids du lundi revient silencieux.