Titre du blog :
Manoir de Morticia
Auteur: Marquise-Morticia
Description:
blog perso
Créé le: 01-11-2024
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Blogs gratuitsBonne année 2025
ça pétait de partout jusqu'à 4 h du matin je serais pas
trop devant le pc malgré tout je vous souhaite une bonne santé
et une bonne année 2025 je répondrais pas tout de suite aux coms
je vais surtout me reposer car j'ai bu un coup,
pour marquer le coup.
L’Essence de ma Douleur
L’Essence de ma Douleur
Ma douleur, c’est mon âme, un cri silencieux,
Un feu qui brûle, mais éclaire mes cieux.
Je ne peux plus t’oublier, toi, mon ami,
Vestige d’une autre vie, gravé en mon esprit.
Même si chaque souvenir me lacère le cœur,
Je préfère cette peine, ce poignant labeur,
À l’oubli glacé, à l’amnésie spirituelle,
Qui effacerait ce lien, ce rêve éternel.
Car cette souffrance, vive et infinie,
Est l’essence même de ma poésie.
Elle nourrit mes mots, elle colore mes songes,
Elle est le murmure d’un amour qui s’allonge.
Un amour si profond, que je taisais jadis,
Un secret fragile, un trésor qui me hisse.
Je ne t’ai jamais dit ce que mon cœur ressentait,
Mais aujourd’hui, dans ces vers, il se livre en secret.
Alors, laisse ma douleur devenir mon étoile,
Un guide brillant à travers les voiles.
Car vivre avec toi dans ce souvenir ancien,
C’est mieux que de sombrer dans un oubli incertain.
Commentaires
1. Calie le 30-12-2024 à 20:36:06 (site)
Bonsoir
Je sais qu'il y a des petits problèmes sur Vef mais le propriétaire du site n'intervient pas..désolée
Bonne fin d'année
Calie
2. Cricriangel le 31-12-2024 à 14:42:51 (site)
Voilà une poésie très poignante , et remplie de douleurs , il est vraie que quand l'on perd quelqu'un de très cher à notre coeur , on ne saurait l'oublier , l'amour que l'on avait pour lui et que l'on a encore , se poursuit dans l'éternel . Bisous
Le Voile
Le Voile
Quand on naît dans une famille fermée d'esprit,
Qui réduit nos paroles à néant, nos rêves à l’oubli,
Le voile se tisse, doux et sournois,
Recouvrant nos souvenirs, effaçant nos émois.
L'amnésie spirituelle s'installe alors,
Comme une brume, effaçant ce que l’on adore.
L'expression devient un interdit imposé,
Et peu à peu, l’âme se retrouve déconnectée.
Mais dans les foyers où la parole est lumière,
Où l'ouverture nourrit les esprits et éclaire,
Les souvenirs persistent, ancrés dans la mémoire,
Témoins vivants d’un passé illusoire.
Cependant, l’éveil dérange, trouble les âmes endormies,
Changer l’énergie, c’est bousculer l’harmonie.
Un membre te dit que ton passé est inventé,
Car voir clair en soi, cela reste un danger.
Je ne t’oublierai pas, toi mon ami,
Tout est consigné, gravé au fond de ma vie.
Je suis devenue plus maligne, plus forte qu’avant,
Face à ces esprits fermés qui jugent constamment.
Le courage d’être soi, un acte de rébellion,
Un cri contre l’effacement et la soumission.
Le voile peut bien tenter de me recouvrir,
Mais ma lumière intérieure ne saurait périr.
Commentaires
1. gib-mir-deine-hand le 30-12-2024 à 17:00:46 (site)
On l'appelle passé car conditionnés à voir un avant et un après, un temps existant et linéaire. Peut-être un ami, vous, on ne sait pas forcément. Juger c'est autre chose que d'en douter, émettre d'autres possibilités. Les gens ne sont pas pour autant fermés d'esprit et dans certains cas il est préférable de ne pas y croire dur comme fer car ça reste une "interprétation" très humaine au final.
2. gib-mir-deine-hand le 30-12-2024 à 17:03:51 (site)
J'ignore si mon commentaire a été reçu car ça beugue on dirait.
Les Secrets de l'Âme
Les Secrets de l'Âme
Parler, m’a-t-on dit, c’est ouvrir une brèche,
Laisser le vent du doute souffler ses flèches.
Ces vies d’avant que mon cœur murmure,
Sont des vérités que le monde censure.
"Tu peux parler," disent-ils avec des yeux brillants,
Mais derrière, l’écho se charge des rires cinglants.
Ils demandent, curieux, avides de savoir,
Puis tournent le dos pour mieux décevoir.
Un piège à rat, un filet tendu,
Où l’authenticité devient malentendu.
Pourquoi ouvrir mon âme aux jugements amers,
Quand seuls les esprits ouverts voient les mystères ?
Alors, je garde en moi les empreintes anciennes,
Ces souvenirs qui brillent comme des chênes.
Chaque feuille, un fragment de vérité,
Que je protège loin de leur société.
Mais sache ceci, moqueur ou ignorant,
Mon âme, elle sait, et mes souvenirs sont vivants.
Je ne fermerai jamais les portes de ma mémoire,
Car chaque vie est un chapitre de mon histoire.
Commentaires
1. BlueMayDragonButterfly le 30-12-2024 à 02:51:19 (site)
Très beau ^^
2. Cricriangel le 30-12-2024 à 11:25:04 (site)
Très bel écrit , j'aime beaucoup comment tu rédiges tes ressentis . Bravo . Je te souhaite déjà juste ce message pour te souhaiter aussi un excellent et doux réveillon du 31 décembre . Désolée parfois de ne pas trop m'attarder sur toutes tes publications , j'essaye au mieux de contenter tous le monde dans mes commentaires
3. Cricriangel le 30-12-2024 à 11:30:00 (site)
Ah oui je voulais juste dire une petite chose sans te vexer bien entendu , juste une constation que voilà déjà plusieurs fois que je te commente tes publications et que je ne vois aucunement mes commentaires affiché , si tu modères tes commentaires , tu devrais peut cliquer sur accepter , ou alors re paramètre ton blog pour ne recevoir aucun commentaires . Enfin fais comme tu l'entends bien entendu ... Car il est évident que si mes commentaires ne sont pas accepté , je ne passerais plus sur le blog , je trouvais pourtant tes articles bien intéressant et instructif et souvent invitait à la méditation de ce que tu écrivais
Le poids de la vérité
Le poids de la vérité
Comment ne pas finir par haïr ces voix,
Qui te poussent à mentir, à courber ton dos,
Te forçant à oublier ce que tu sais, toi,
Et à dire des choses qu’au fond, tu renies, comme des échos.
Ils veulent ta vérité, mais à leur façon,
Ils t’accusent, te jugent, te torturent sans raison.
Ils te forcent à avouer, même ce qui n’est pas,
Te faire passer pour menteuse, pour ne plus croire en toi.
Comment ne pas sortir de ce monde en dégoût,
Quand tous ces regards, ces jugements sont partout ?
Ils veulent te faire entrer dans leur petite case,
Mais dès que tu oses respirer, tout se transforme en menace.
Ils sourient, font semblant, acceptent à moitié,
Mais dès que tu montres qui tu es, tu es rejetée.
C’est une mascarade, un cirque sans fin,
Où tout ce qui compte, c’est de rester dans le "bien".
Je suis fatiguée de ces faux sourires, de ce jeu,
De ces faux-semblants, de ces hypocrisies, de tout ce qu’ils veuillent.
Je ne veux plus m’adapter à un monde qui me dégoûte,
Où être soi est un crime, où la vérité est une lutte.
Alors oui, parfois, la haine me ronge,
Quand je vois tout ce que l’on cache, tout ce que l’on forge.
Ce monde qui te force à oublier ton âme,
Mais je refuse de me taire, je refuse cette lame.
Je ne fermerai plus ma bouche, sauf en famille,
Parce que personne ne comprend, tout est faux, tout est fragile.
On fait semblant, on masque tout, mais j’ai vu dès le début,
Comment aurais-je pu dénoncer quand on me croit quand ça arrange, quand c’est voulu ?
Où se termine le mensonge, où commence la vérité ?
Qu’ai-je encore à apprendre de ce monde empoisonné ?
Non, je ne me tairai plus, je ne me laisserai pas faire,
Ce système de silence, je n’accepte pas d’y sombrer, c’est trop amer.
Me taire, ce serait accepter d’oublier toi, mon ami,
D’effacer ta mémoire, de te perdre à l’infini.
Mais tu es gravé dans mon âme, et rien ne pourra m’effacer,
Je parle, je crie, je lutte, et je ne vais plus me taire.
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