posté le 05-12-2024 à 21:39:27

La vérité, un mensonge

 

 

 

La vérité, un mensonge

 

De nos jours, la vérité n’est qu’un mirage,
Un mensonge déguisé, une image.
Elle se cache derrière des mots perfides,
Où tout est flou, où tout devient vide.

 

Elle se tord, se transforme, se masque,
Sous un voile d’illusion, de fausses faces.
Mais dans son cœur, il y a encore de l’amour,
Un éclat secret, une lueur dans le détour.

 

Mais quelle issue avons-nous, dis-moi ?
Si la vérité se fait écho du froid,
Si l'amour se cache dans le mensonge,
Si les illusions et la réalité se mélangent.

 

Avons-nous encore une chance de voir clair ?
Ou sommes-nous condamnés à vivre dans l’éphémère ?
La vérité, ce mensonge qu’on poursuit,
Se mêle à nos vies, jusqu’à ce qu’elle nous fuit.

 


 
 
posté le 05-12-2024 à 21:30:03

L'ombre de l'amitié

 

 

 

 

 

L'ombre de l'amitié

 

Notre relation est une mer agitée,
Un entrelacs de rires et de silences partagés.
Les mots se croisent et se perdent parfois,
Comme des vagues qui brisent nos voix.

 

L’amitié, fragile, se tisse et se déchire,
Dans l'ombre d’un lien qui ne cesse de fuir.
La tristesse s’invite, chaque matin,
Quand l’absence de toi m’étreint sans fin.

 

Un vide glacé m’envahit, sournois,
Comme un hiver sans fin, sans toi.
Ton absence est un froid que rien ne réchauffe,
Elle m’enserre, me hante, me laisse sans souffle.

 

Dans cet hiver gelé, je cherche une chaleur,
Mais tout est devenu sombre, tout est douleur.
Et même si l’amitié se fait parfois tendresse,
Aujourd’hui, elle ne me soulage plus, elle me laisse.

 

Tout est froid, tout est perdu,
Dans ce vide immense où je suis perdue.
La neige tombe, silencieuse, sans bruit,
Et je cherche ton regard, ton sourire qui fuit.


 


 
 
posté le 05-12-2024 à 21:08:47

Comme un chat

 

 

 

 

Comme un chat

 

Je suis comme un chat, tranquille dans mon coin,
Mon espace est sacré, je le garde pour moi.
Je vais vers les autres quand je le décide,
Et dans mon silence, je trouve mon guide.

 

Autonome, solitaire, je trace mon chemin,
Je n’ai besoin de personne, mais je suis là, serein.
Mon intérieur est mon havre, mon doux refuge,
Où la paix règne, sans aucune intrusion, aucune subterfuge.

 

Je n’aime pas qu’on envahisse mon espace,
Je m’y sens bien, je trouve ma place.
Le monde extérieur peut bien tourner,
Ici, c’est chez moi, et je suis à ma place, en toute liberté.

 

Comme un chat, je me faufile, je me retire,
Mon confort est précieux, je le respire.
Je suis bien chez moi, à mon rythme, à mon pas,
Dans ma tanière, là où je trouve mon calme, mes combats.

 

 


 
 
posté le 05-12-2024 à 20:37:50

Le poids de l'absence

 

 

 

 

 

Le poids de l'absence

 

La douleur qui part, puis revient,
Comme un souffle froid qui me serre la main.
Elle me hante, elle m’étreint,
Un souvenir qui refuse de s’éteindre, serein.

 

L’amitié, cette relation compliquée,
Nous avons tissé des liens, mais tout est brisé.
La tristesse m’envahit, je n’y peux rien,
Et je cherche ta présence, mais je reste seule, sans un chemin.

 

La douceur de l’hiver, comme un voile apaisant,
Mais sous cette neige, mon cœur est brûlant.
Chaque flocon me rappelle ton absence,
Chaque souffle me fige, sans l'ombre de ta présence.

 

Marre de vivre sans toi, ça me tue à petit feu,
Un vide immense, un ciel sans les cieux.
Je lutte contre cette douleur qui me ronge,
Mais sans toi, tout semble se mélanger et s’effondrer, se plonge.


 


 
 
posté le 05-12-2024 à 02:57:45

Le poids du vide

 

 

 

Le poids du vide

 

Je porte un masque que personne ne déchire,
Un sourire peint pour cacher mon vrai soupir.
Chaque éclat de rire sonne creux en écho,
Un théâtre absurde, un monde bien trop faux.

 

Les gens disparaissent, emportés par le temps,
Ils s’effacent si vite, me laissant ce néant.
Je veux m’adapter, mais tout semble brisé,
Comme une danse maladroite que je ne peux achever.

 

Et toi, tu es loin, pourtant si proche encore,
Ton souvenir me hante, il dévore mon décor.
Le voile des vies passées n’a pu t’effacer,
Ton empreinte reste là, sur mon âme incrustée.

 

Un fragment de ce que j’étais autrefois,
Une lumière éteinte, mais qui guide mes pas.
Je cherche tes mots dans le vent glacial,
Dans un hiver sans fin, dans ce vide brutal.

 

Et jour après jour, je supporte ce poids,
Ton absence me broie, mais jamais ne s’en va.
Je marche avec cette douleur en silence,
Un espoir fragile contre l’indifférence.


 


Commentaires

 

1. jardin-des-vers  le 05-12-2024 à 04:53:05  (site)

Beau et touchant poème.Merci de l'agréable lecture que j'ai bien apprécié.Bon jeudi. Sabri

 
 
 
 

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