"Le Temps de Changer"

Besoin de calme, la solitude, ma complice,
Elle est celle qui me guide et me réchauffe,
Dans le silence, je trouve ma douce malice,
Là où l'âme se pose, là où le cœur s'offre.

Je n'ai rien contre vous, je me cherche juste,
À travers les pages, les mots qui me nourrissent,
Des livres comme des ponts, des rêves en rustre,
J'espère qu'ils m'inspireront, qu'ils me redonnent le linceul de mes racines.

C'est rien contre personne, juste contre le bruit,
Contre les attentes, contre ces chaînes invisibles,
Je m'éloigne pour mieux comprendre la nuit,
Pour me réinventer, pour devenir inflexible.

Ça prendra le temps qu’il faudra, ce voyage,
Pas de précipitation, pas de mesure ni d’étau,
Chaque page tournée, chaque mot, chaque image,
Sont des pas vers moi-même, des pas vers le renouveau.

"Allez voir ailleurs"

Allez voir ailleurs, je fais ce que je veux,
Tant que la solitude n'est pas un crime,
Vivre ma vie, en retrait, c'est mon vœu,
Loin des faux-semblants et des jeux de mime.

Je suis la poussière que vous ne pouvez contrôler,
L'ombre qui vous échappe, une vérité brute,
Vos tentatives de m'enfermer dans vos filets,
S'effondrent dans le vent, comme une route sans but.

Je n'ai pas besoin de vos miroirs ni de vos normes,
De vos voix qui veulent me plier, me façonner,
Je suis plus que ça, une essence qui forme
Un espace libre où rien ne peut m'arrêter.

Marre de la symphonie où tout le monde se ressemble,
Je brise les chaînes, je refuse de suivre,
Car dans ma différence, c’est là que je tremble
De liberté, de vivre, de respirer, d’être ce que je désire.

Je vous ferai pleurer si vous essayez de me contrôler,
Car mon essence est vive, et non pas morte,
Comme celle des gens que la société a enfermés,
Dans des cases pour les endormir, leur voler la porte.

Je dérange ? Tant mieux, ça m'arrange,
Je ne suis pas ici pour me cacher,
Je suis celle qui brille dans la marge,
Et rien ne pourra jamais me faire changer.

Romain, je t'ai connu par internet
Pourquoi t'es-tu suicidé ?
J'ai mal, et c’est pas le moment,
Devant le nez, j’ai d’autres anniversaires de décès.

Je suis pas bien,
Excusez-moi de pas être plus présente sur les blogs,
La douleur me prend, me serre,
Et ton absence me ronge, encore et encore, avec tout les aautres disparut .

Merci pour vos passages et commentaires

là je ne sais pas ce que j'ai j'ai un peu mal à la gorge je vais surtout me reposer merci encore.....