posté le 30-11-2024 à 21:18:55

Utopie Éphémère texte écrit par moi sous le pseudo Aline de Luneville edition999

 

 

 

 

 

Utopie Éphémère
Les meilleures amis pour la vie, ce n'est qu'une utopie,
Des promesses qui s'effritent, des rêves en trompe-l'œil.
Un ami d'enfance, une confiance innocente,
Un souvenir, aujourd'hui terni par une fête.
Ce soir-là, j'ai ressenti une étrange mélancolie,


Mis de côté, écarté, face à une réalité glacée.
Elle, portant mon prénom, a pris la place à tes côtés,
Tandis que mon cœur s'est serré, doucement blessé.
Les rires autour, mais le silence en moi,


Un moment fugace, mais les émotions demeurent.
J'ai compris que parfois, les liens se distendent,
Que l'amitié, elle aussi, peut connaître des tempêtes.
Mais au-delà de la peine, je conserve un espoir,
Que les cœurs sincères se retrouvent un jour,
Car même si les meilleures amis pour la vie, ce n'est qu'une utopie,
L'authenticité de nos émotions reste notre plus grand trésor.

 

 


 
 
posté le 29-11-2024 à 23:58:32

L’hiver sans fin

 

 


 

 

L’hiver sans fin

 

Elle me demande de sourire, de jouer le jeu,
De porter ce masque, de paraître heureuse,
Mais sous cette façade, tout se brise, tout s’effondre,
Le froid dans mon cœur, et le monde qui m’encombre.

 

J’en ai assez de cette comédie mondaine,
De ces faux sourires, de cette scène soudaine,
Où l’on cache la douleur sous des rires forcés,
Mais moi, je veux crier, me libérer, m’effacer.

 

Pourquoi rêver encore de toi, de nous ?
De cet amour perdu, de tout ce qui était fou,
Entre nous, malgré ces prises de têtes,
Mais toi, tu me manques, même dans cette réalité.

 

Ton absence est un hiver sans fin, un froid cruel,
Le vent souffle fort, et tout devient irréel.
C’était déjà froid, mais sans toi, c’est pire,
Chaque souffle est un murmure qui me tire.

 

Je ferme les yeux et je te vois dans chaque rêve,
Dans chaque moment où je me perds, je m’élève.
Mais la réalité m’écrase, et je suffoque,
Comme une neige qui tombe, et qui m’étouffe.

 

Les mondanités m’étouffent, les faux discours,
La vie me semble vide, sans amour, sans retour.
Je voudrais hurler, briser ce silence glacial,
Mais tout est trop lourd, tout est trop fatidique, et fatal.

 

Tu me manques, même si tout entre nous était compliqué,
Même si le feu de notre amour a fini par s’éteindre,
Je t’ai aimé avec toute la fragilité du monde,
Et ton absence me laisse dans cette nuit sans seconde.

 

Je suis là, dans cet hiver sans fin,
Cherchant ton visage, cherchant ton chemin.
Mais chaque pas me mène plus loin de toi,
Et la douleur m’envahit, elle m’étreint, me noie.

 


 


 
 
posté le 29-11-2024 à 23:44:51

 


 
 
posté le 29-11-2024 à 23:38:51

Lueur d’espoir

 

Lueur d’espoir

Dans cette comédie noire où je m’égare,
Je cherche une lueur, un fil dans le noir,
Juste une bribe d’espoir pour alléger ce fardeau,
Un souffle de toi, un retour au chaos.

Les retrouvailles s'éloignent, fantômes d’hier,
Nos âmes s’échappent, prisonnières du mystère.
Une amitié qui vacille, un amour caché,
Sous le masque des silences, à jamais effacé.

Les souvenirs me hantent, doux mais amers,
Ils dansent dans l’hiver, comme un vent solitaire.
Cette douce mélancolie m'enveloppe, me serre,
Chaque instant passé est un écho de terre.

L'hiver arrive, mais il porte ta trace,
Une douceur froide, un souffle de grâce.
Le froid me rappelle ce que j'ai perdu,
Loin de toi, tout devient obscur, tout devient nu.

Et mon âme, liée à toi par ce souvenir,
Porte le poids de l'amour qu'on ne peut saisir.
À jamais, je serai marquée, dans cette immensité,
Où l’amour secret se mêle à la réalité.

L'hiver, cette saison où tout est figé,
Réveille en moi des douleurs inavouées.
Mais dans ce froid, une lueur vacille,
Peut-être un jour, nos âmes se retrouvent, fragiles.

Et même si le temps nous sépare encore,
Dans cette comédie noire, l’espoir reste fort,
Un jour peut-être, un sourire, un regard,
Nous réunira, loin de ce fardeau, de ce hasard.

 

 


 
 
posté le 29-11-2024 à 23:16:28

Comédie noire

 


Comédie noire

Je souris, mais c'est une ombre qui danse,
Sous mes yeux fatigués, une farce, une lance.
Le masque est lourd, je le porte avec force,
Mais l'âme hurle, solitaire, sans ressource.

Chaque jour est une scène que je joue,
Le décor est faux, les rires sont flous.
Je cache la douleur qui ronge mes entrailles,
Une comédie noire qui m'oppresse, qui me taille.

Les mots sont des chaînes, les gestes des pièges,
Je suis en guerre contre ce qui m'empêche.
Sous le poids de cette façade artificielle,
Ma vie de merde se tord, se fait irréelle.

Loin de toi, je me noie dans mes pensées,
Un océan de souffrance que je ne peux crier.
L'absence est une plaie ouverte dans mon cœur,
Et la scène de ma vie n'est plus qu'un leurre.

Les rires du monde me semblent si vains,
Quand à l’intérieur, tout est hors de mes mains.
Je veux tout briser, tout fuir, tout lâcher,
Mais je reste là, dans cette comédie à pleurer.

L’âme meurtrie cherche un peu de vérité,
Mais tout autour n’est que misère et vanité.
Je me perds dans le rôle qu’on m’impose,
Et chaque sourire est une douleur morose.

Loin de toi, tout se fissure, tout s’effondre,
Je ne peux plus supporter ce vide qui m’encombre.
Alors je souris encore, mais c’est la fin,
Une comédie noire, un adieu sans fin.

 


 


 
 
 

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